La méthode est classique : l’envoi d’une image en .svg qui renvoie vers une vidéo nécessitant le téléchargement d’une pseudo-extension piégée. L’éditeur précise que la contamination peut également se faire par simple téléchargement de l’image. Une fois téléchargé, elle active un ransomware (le fameux Locky) sur le poste infecté.
L’email : Vecteur n°1 de cyberattaques
N’attendez plus, sécurisez vos mails et les données de l’entreprise ! En quelques chiffres : 3 millions de spams envoyés chaque seconde sur Internet, 90 % des cyberattaques sont liées à...