Les gendarmes utilisent les ordinateurs embarqués dans les voitures pour faire avancer leurs enquêtes. Par exemple, ils peuvent retrouver le numéro de série du véhicule et si celui-ci n’est identique à celui du châssis, c’est une preuve que le véhicule a été volé ou maquillé. Ils peuvent aussi déterminer la vitesse d’un véhicule quelques secondes avant un crash.
Une dizaine de portes d’entrée dans les voitures connectées.
Les attaques se sont multipliées dans les voitures avec le développement des services connectés, à savoir capteur de pression, accès Internet et Wifi en partage de connexion, Bluetooth, RFID pour l’ouverture des portes, prises USB internes ou encore le port ODB. Tout comme les objets connectés, les voitures sont devenues de véritables passoires numériques. Des hackers ont réussi à activer à distance certaines fonctions comme déverrouiller à distance les portes d’un véhicule, le localiser, fermer et ouvrir le toit, actionner les éclairages ou klaxonner. Le home et le car-jacking sont passés de mode au profit du mouse-jacking, le vol de voiture assisté par ordinateur.
L’email : Vecteur n°1 de cyberattaques
N’attendez plus, sécurisez vos mails et les données de l’entreprise ! En quelques chiffres : 3 millions de spams envoyés chaque seconde sur Internet, 90 % des cyberattaques sont liées à...